Pour mieux former les jeunes missionnaires oblats de Marie Immaculée d’Afrique francophone
Comment mieux
organiser la formation des jeunes missionnaires oblats de Marie Immaculée d’Afrique
francophone ? C’était le sujet de la rencontre de cinq jours clôturée le
vendredi 15 février dans la maison provinciale des missionnaires oblats à
Kinshasa-Barumbu.
Ils sont venus de Madagascar, du
Sénégal, du Nigéria, du Cameroun, d’Angola et de la RDC. Du 11 au 15 février,
les supérieurs des Provinces, Délégations ou Missions et les économes ont réfléchi
aussi bien sur les statuts que sur les finances des deux maisons de formation
dites “consolidées”, c’est-à-dire internationales, basées à Yaoundé (Cameroun) et
à Kinshasa.
A Kinshasa se forment les étudiants en
théologie, et à Yaoundé, ceux du cycle de philosophie. Comment assurer les
meilleures conditions de vie pour les futurs missionnaires oblats d’Afrique
francophone ?
La question est capitale parce que, au
dire du père Louis Diedhou, supérieur de la Délégation du Sénégal, les oblats
sont une congrégation missionnaire, et les jeunes religieux africains doivent
être formés dans de meilleures conditions afin d’assurer un service
missionnaire valable à travers le continent et au-delà.
Commentaires
Enregistrer un commentaire
Merci de laisser votre commentaire ici.