Colloque pour les quarante ans du mouvement Kizito-Anuarite







D’où vient le groupe Kizito-Anuarite, mouvement d’encadrement d’enfants pour l’Eglise et la société sur le modèle de Kizito, le plus jeune des martyrs de l’Ouganda et de la bienheureuse congolaise Marie-Clémentine Anuarite ? Où en est le groupe aujourd’hui et où veut-il aller après quarante ans d’existence ?



La question s’est posée au centre du quatrième colloque international de la Fondation Kizito-Anuarite tenu du 16 au 19 juillet au petit séminaire saint Jean-Marie Vianney de Kinshasa à l’occasion de la célébration du quarantième anniversaire du mouvement fondé en 1979 après une nuit de récollection au petit séminaire saint Jean-Marie Vianney par un groupe de huit grands séminaristes de l’archidiocèse de Kinshasa. Le mouvement s’est répandu depuis lors. 

 

Au jubilé des quarante ans, des délégués sont venus notamment de Belgique, d’Angola et des diocèses de Kinshasa, Lubumbashi, Kole, Idiofa, Kenge, Kisantu, Goma, Kisangani et Inongo. 

 

Lors de la messe d’ouverture dans la cathédrale Notre-Dame du Congo, Monseigneur Joseph Moko, évêque d’Idiofa, cofondateur du groupe et aujourd’hui président du Conseil d’administration de la fondation Kizito-Anuarite, en a appelé à la mise à jour de l’intuition du départ en plaçant Dieu au centre de tout. 


Le groupe d’apostolat Kizito-Anuarite vise à emmener les enfants à Jésus et à emmener Jésus aux enfants. Ainsi l’a rappelé le père Jean-Paul Munongo dans l’homélie de la messe de clôture présidée par le secrétaire exécutif de la Fondation Kizito-Anuarite, monsieur l’abbé Joseph Ndenda.


 




Le quatrième colloque a rappelé ainsi, par des conférences, des débats et des travaux en ateliers que l’initiation Kizito-Anuarite atteint effectivement l’objectif d’accompagner les enfants à grandir et à bien grandir dans les vertus et dans la foi. Des enfants ont d’ailleurs fait leur témoignage disant comment ils ont changé de comportement et promettant de le rester jusqu’à leur mort.






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