Clôture de l’Année de la foi à Mbandaka

Les fidèles des quatorze paroisses de la ville de Mbandaka, dans la province de l’Equateur, ont tous convergé vers le lieu dit « Cercle Bakusu » non loin de l’église paroissiale saint Pierre Claver, le dimanche 24 novembre, pour la messe du Christ-Roi de l’univers et pour la clôture de l’Année de la foi. Avec leurs curés respectifs, les paroissiens ont tous marché, chantant le Christ Roi et récitant le chapelet. L’archevêque de Mbandaka-Bikoro, Mgr Joseph Kumuondala, les attendait, et il a présidé la messe concélébrée par trente prêtres. Un diacre a servi à l’autel. Dans l’assemblée de quelque 8000 fidèles, il y avait aussi  des religieuses et religieux, et des autorités civiles et militaires.
A l’homélie, l’archevêque a insisté sur l'identité du disciple du Christ. Etre chrétien, a-t-il dit, c'est se savoir appelé à imiter le Christ en pensée, en parole, en acte, en toute chose et en toute circonstance. Mgr Kumuondala a rappelé que l'Année de la Foi a été une grâce spéciale donnée pour permettre d'évaluer sa foi, de se resituer par rapport au Christ. Toute personne ayant traversé la porte de la Foi, c'est-à-dire tout baptisé, doit vivre en communion avec Jésus Christ, a dit l’archevêque de Mbandaka-Bikoro, avant d’insister sur les fruits à porter. La clôture de l'Année de la Foi ne signifie pas que tout s'arrête. Au contraire, les chrétiens doivent  produire des fruits du travail effectué pendant cette année, et des fruits qui demeurent, a conclu Mgr Joseph Kumuondala.
Du début à la fin de la messe, et pendant le repas partagé par paroisses après la messe, la joie d'être chrétien catholique a été à son comble, bien rayonnante. 

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